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Charge mentale : 3 clés pour l’alléger

Charge mentale : 3 clés pour l’alléger – Nouvelle mise à jour 2023

Nous sommes un petit groupe de professionnels dentaires passionnés qui écrivons des articles pour le public depuis plus de 10 ans. Notre mission est de fournir des informations précises et à jour sur la santé bucco-dentaire afin que les gens puissent prendre des décisions éclairées concernant leurs soins dentaires.
Nous savons qu’une excellente santé bucco-dentaire est essentielle pour la santé et le bien-être en général, et nous nous engageons à aider nos lecteurs à atteindre et à maintenir des dents et des gencives saines.

Tâches ménagères, gestion de la maison, gestion des tâches parentales, de la vie sociale de la famille… Ah, la fameuse « charge mentale » qui pèse sur les parents, et plus particulièrement (paraît-il) sur les femmes Cette responsabilité qui nous incombe de devoir « penser à tout » pour assurer la bonne marche du foyer, de notre travail, et de notre famille.  Quels sont les risques quand cette charge devient surcharge ? Et surtout, peut-on l’alléger pour retrouver un peu de sérénité ? Je laisse la parole à mon amie Caroline, maman d’Arthur 4,5 ans et de Tristan, 2,5 ans.

C’est quoi la charge mentale ?

Lancer une machine. Acheter des couches pour Tristan et de nouvelles chaussures à Arthur. Passer à la pharmacie prendre du Doliprane et au pressing récupérer la couette déposée il y a un mois. Prendre rendez-vous chez le pédiatre pour le petit et le dentiste pour le grand. Faire les courses pour le dîner. Préparer le dîner. Répondre à l’invitation de nos amis pour le weekend prochain. Rendre les livres empruntés à la bibliothèque. Acheter un cadeau pour la filleule (de monsieur !) dont c’est l’anniversaire dans deux jours. Recoudre le doudou d’Arthur et réparer le camion cassé de Tristan.

Ça, c’est ma « to do list » (ou ma liste des choses à faire) du jour… Ça vous rappelle quelque chose ?

J’ai beaucoup de chance, car je travaille à mon compte. Je pourrai donc jongler à ma guise dans la journée entre mon travail et ces tâches domestiques. Et encore, mes Loulous n’ont pas encore attaqué l’école et les devoirs ! Pourtant parfois, j’en ai la nausée… Alors je n’ose imaginer ce que ressentent les milliers de femmes, de mères qui, depuis leur bureau, attendent l’heure « décente » pour filer accomplir leurs devoirs avant que tous les magasins ne soient fermés, les médecins rentrés chez eux, et leurs enfants couchés !

En bref, la définition de la charge mentale, ce sont toutes ces petites et grandes tâches (ingrates) auxquelles on pense sans arrêt, parce que nous en sommes (officieusement, mais très certainement) responsables et pour lesquelles il faut sans cesse s’organiser afin que notre petit monde continuer à tourner à peu près rond.

Charge mentale… ou surcharge ?

Une prise de conscience tardive de la charge mentale (2017)

Le terme de charge mentale ne date pas d’hier, mais a été récemment mis en lumière par la dessinatrice Emma sur sa page Facebook, avec une bande dessinée qui illustre tellement bien ce que nous vivons presque toutes au quotidien : une femme est en train de faire manger ses enfants tout en préparant le dîner pour les adultes, quand tout à coup la casserole déborde. Le compagnon s’exclame « Fallait me demander, je t’aurais aidé ! ». Et la dessinatrice résume « Quand le partenaire attend de sa compagne qu’elle lui demande de faire les choses, c’est qu’il la voit comme responsable en titre du travail domestique. C’est donc à elle de savoir ce qu’il faut faire et quand il faut le faire. »

La charge mentale, l’apanage des femmes

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Depuis la BD, de nombreux articles ont été écrits, et on commence à prendre conscience à quel point cette charge mentale peut être pesante pour celles qui la portent. (Remarque : on parle ici des femmes car, même si les mentalités évoluent, les tâches ménagères sont toujours une source d’inégalités entre hommes et femmes. D’après l’Insee, 64 % des tâches domestiques sont encore assurées par les femmes et 71 % des tâches parentales).  

Plus récemment, une maman blogueuse a créé le compte Instagram @taspensea (T’as pensé à ?) pour permettre aux femmes de s’exprimer et sur lequel on trouve quelques pépites : « Pour moi, la charge mentale, c’est quand après quatre ans de parentalité, il me demande encore la recette du biberon », par exemple.

Penser à tout organiser, pour tout le monde

En fait, ce qui nous pèse, ce n’est pas simplement la répartition inégale des tâches, mais le fait d’être responsable de leur planification. Devoir penser à tout, pour tout le monde, tout le temps.

Alors bien sûr, on peut rétorquer que nous ne sommes pas « obligées » de faire tout ça. Que l’on pourrait demander plus d’aide. Mais dans les faits, comme nous sommes (si, si !) des femmes et des mères responsables, il nous est difficile de dire « tant pis ! ». Tant pis si les enfants mangent pour la cinquième fois des pâtes cette semaine. Et tant pis si la couette reste au pressing un mois de plus. Tant pis si la panière est sur le point de succomber sous le poids du linge sale. Tant pis si l’aîné a des chaussures trop petites et son frère un camion cassé. Bien sûr, on pourrait rayer plusieurs lignes de nos to do list quotidiennes… On pourrait, oui, mais on n’en a pas vraiment envie, n’est-ce pas ? Au risque de finir toutes nos journées épuisées, ou en colère, et de le faire finalement subir à notre entourage… Au risque de frôler souvent le burn-out maternel.

D’ailleurs, si la charge mentale est un sujet pour toi et que tu n’en peux plus de te couper en 4 pour une satisfaction… très relative, je te propose de rejoindre notre coaching “Diminuer sa Charge Mentale“. On prendra le temps de prendre du recul sur ce qui nous pèse, mais surtout d’avancer pas à pas pour nous remettre au centre de nos vies… Ne rate pas le train, le coaching se tiendra du 19 octobre au 7 décembre, et c’est seulement une fois par an !!

Alors, quelles solutions ? Comment alléger cette charge mentale qui pèse souvent trop lourd ?

Comment diminuer sa charge mentale ?

Quand c’est trop, c’est trop !

Ce matin, j’ai crié contre mon fils qui ne voulait pas mettre le pantalon que j’avais préparé la veille. Un peu plus tard, contre son frère qui ne voulait pas manger ses céréales. Et finalement, contre leur père qui finissait de s’habiller en regardant la scène sans lever le petit doigt… Le plus dur, je crois, c’est lorsque malgré tous nos efforts pour que tout se passe bien, rien ne se passe comme prévu… Or avec des enfants, les choses se passent rarement comme prévu ! Il faut donc éviter que l’imprévu nous empêche d’être heureux . 

Bien sûr, il n’y pas de solution miracle pour alléger sa charge mentale. Mais tout de même, voici quelques pistes pour rendre le « fardeau » plus léger…

Clé #1 – pour diminuer sa charge mentale : savoir être égoïste de temps en temps (et pas trop rarement !)

Si si, j’ai bien dit égoïste ! C’est-à-dire savoir faire des choses pour soi, et uniquement pour soi. Du sport, du yoga, un déjeuner avec une copine, lire un bouquin, peu importe. Et surtout le faire en ne pensant A RIEN D’AUTRE ! (oui je sais, facile à dire… combien de fois je me suis retrouvée chez le coiffeur ou au sport, en train de réfléchir à ma liste de courses, au dîner du soir, à l’organisation des vacances…). Il n’empêche que ces moments de reconnexion à soi sont importants pour notre équilibre (et ce qui est bon pour nous l’est pour la famille !)

Clé #2 – pour diminuer sa charge mentale : RAYER de la liste TOUT ce qui peut l’être

J’ai bien dit TOUT. Le cadeau pour la filleule de monsieur ? Qu’il s’en occupe. Réparer le camion ? Plus tard (dans une autre vie, donc). Laver le linge ? À moins que plus personne n’ait de quoi s’habiller le lendemain, on reporte. Et ainsi de suite. On ne garde que ce qui est essentiel, et surtout ce qui tient dans le temps qui nous est imparti. Cela signifie aussi accepter qu’il y a des choses que l’on ne fera sans doute jamais… Voir aussi nos 7 conseils pour une organisation familiale allégée.

Et c’est aussi laisser la place aux autres de se rendre compte qu’ils peuvent s’y mettre. L’ado n’a plus de caleçon ? Il est sûrement capable de lancer une lessive, voire de l’étaler. Le petit dernier se fait mal au pied sur un lego (ou le playmobil finit dans le ventre de l’aspirateur ?), c’est peut-être l’occasion de voir à quoi ça sert de ranger !

Clé #3 – pour diminuer sa charge mentale : demander de l’aide et déléguer

Oui, DÉ-LÉ-GUER, sans culpabiliser. Pas seulement les tâches en question, mais aussi leur organisation ! Reconnaissons-le, beaucoup d’entre nous avons parfois du mal à laisser les autres faire à notre place. C’est pourtant, à mon avis, le plus important. Lorsque l’on est épuisée, c’est qu’il est temps de redéfinir les rôles avec notre conjoint (« Fallait le demander ! » : OK demandons !), et de trouver dans notre entourage un maximum de bonnes âmes pour nous soulager.

Car finalement, mieux vaut une maman de bonne humeur et un camion cassé qu’un jouet tout neuf et une mère exténuée… Mes fils peuvent témoigner !

Pour aller plus loin, n’hésitez pas à lire la BD d’Emma, un petit bijou gratuitement mis en ligne pour rire et éclairer 🥰.

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Nous savons que le choix d’un dentiste ou d’un traitement dentaire peut être écrasant, mais nous espérons que nos articles contribueront à rendre le processus un peu plus facile.
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